La translation de concept chez Paul Tillich
Resumo
Les angoisses contemporaines tournent autour de la relation à l’autre, du mensonge, au terrorisme passant par l’isolement. Pourtant nous n’avons jamais été aussi « reliés « les uns aux autres. Comment répondre au néant relationnel ? Paul Tillich n’a pas hésité à dialoguer avec ceux qui affrontaient les inquiétudes de leurs contemporains, dès les années quarante avec le New York Psychology Group. Face à l’angoisse du vide, de l’absurde, il a redéfini le pardon comme acceptation du fait d’être accepté bien que l’on soit inacceptable, à partir d’une « translation du concept » luthérien de la grâce. Quels sont les sources, le cheminement tillichien et les prolongements possibles vers l’acceptance ?
Palavras-chave
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PDFDOI: https://doi.org/10.15603/2176-1078/er.v30n3p303-318
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